Croix Dorigny


Travaux de l’Académie Nationale de Reims
Année 1886-1887
Les anciennes croix, leur intérêt historique
 
XII. COULOMMES-EN-LA-MONTAGNE,
croix Dorigny, christ roman
 

« Au bas du coteau où s’élève le village, et à droite de la route qui conduit à Pargny, on a restauré en 1860 une croix en fer qui porte le nom de Croix Dorigny, en souvenir de l’honorable famille de ce nom. On y voit appliqué un Christ en bronze de l’époque romane (hauteur 0m13) qui est une précieuse relique de l’art primitif. La figure est encadrée de longs cheveux, le corps couvert d’un double linge, et l’ensemble offre la plus frappante analogie avec le Christ conservé avec soin dans l’église de Troispuits. Voici l’inscription de la croix :

 A la gloire de Dieu, posée vers 1776 par J. B. Dorigny et Marie Coulon son épouse, restaurée en 1860 par les soins de Vincent Gérard Dorigny, leur petit-fils, en mémoire de ses sœurs Marie Jeanne et Marie Jacqueline, qui ont consacré leur vie au service de Dieu et des pauvres à l’hôpital général de Reims. »

(Source : Gallica, volume 81, tome 1)

 
 


On ne trouve plus cette inscription aujourd’hui.

Par contre, sur une plaque fixée en 1901, on peut lire :

 
     «  CROIX ROUGE

         RELEVEE PAR

LE Vte  ET LA Vtesse DU PIN DE LA GUERIVIERE

             2 blasons

[identiques à ceux du banc seigneurial de l’église :
armes du Pin de la Guérivière (à gauche)
armes Cavrois de Saternault (à droite)]

                   JUBILE
                     1901 »
  
La croix est visible à la hauteur du  29 rue Haute.

Note :

Jean Baptiste Dorigny : 1725-1808, fils de Lié Dorigny 1688- ? et de Nicolle Maingon ; marié à Marie Coulon 1727-1763. Ils eurent 8 ( ?) enfants dont Gérard Dorigny 1764-1814 marié à Marie-Jeanne Gilbert eurent de nombreux enfants (13 ?) dont Gérard Vincent Dorigny né 1806 qui fit restaurer la croix.

 

Monument commémoratif "Aux enfants de Coulommes morts pour la France"

             

[Cliché datant du 10-01-2012]

 

Le 16 mai 1920, le Conseil municipal décide la constitution d’un comité en vue de l’érection d’un monument aux Soldats de la commune « Morts pour la France » pendant la guerre 1914-1918
et nomme les membres de ce comité :
MM Vte de la Guérivière Edmond, Président
       Ch. Prévot, vice-président
       G. Sogny, secrétaire-trésorier
       Hoche, Promsy, Desjardin, C. Sogny, Ch. Coulon, A. Draveny, Detroux : membres actifs
Le Conseil décide de provoquer une quête au profit de l’œuvre du Monument toutes les fois qu’il y aura un mariage ou une fête dans la commune.
 

L’ « Horloge monumentale » de Coulommes

      Le clocher avant la guerre 1914-1918          

 
Le clocher après 1918
 


Aujourd'hui

 

Extrait

du Registre des Délibérations du Conseil municipal

de la commune de Coulommes-la-Montagne

Séance extraordinaire du 13 Décembre 1898

Les Maires de Coulommes

Introduction : petit rappel historique
 
Les premières mairies apparaissent avec la Révolution de 1789. Auparavant, les villes étaient administrées soit par des seigneurs laïcs ou ecclésiastiques qui se partageaient souvent le pouvoir. Bourgmestres, échevins, pairs… dirigeaient le « menu peuple ». Peu à peu, les rois interviennent dans les villes et sont représentés par un prévôt. Depuis 1625 et Richelieu, créateur de l’unité administrative, et jusqu’à la révolution, le Royaume de France est administré en paroisses ; le curé est le chef spirituel de la communauté villageoise.
Depuis 1240 jusqu’à la Révolution, soit pendant 550 ans, les religieux de Saint Remi étaient  seigneurs et justiciers  de Coulommes.  Le seigneur qui a obtenu concession du souverain rend la justice dans l’étendue de sa seigneurie. Il a pour ce faire des représentants : les échevins chargés de la police et de la justice seigneuriale, le plus souvent choisis et nommés par celui qui possède le fief ou élus par les habitants ; le Procureur d’Office est le Procureur de la justice seigneuriale locale ; le Procureur fiscal est l’Officier chargé de l’intérêt public et de celui du seigneur.
Par exemple en 1647, il y avait à Coulommes 3 « Eschevins » : Thomas Malerme, Jean Boucher et Jacques Draveny ; le procureur d’office était Jean Labassé L’aisné et il y avait Pierre La Planche qui était «Sergent ».
 




Le presbytère de Coulommes de 1877 jusqu'à la guerre de 1914-1918

En 1876, la commune de Coulommes souhaite établir un presbytère, dans une maison sise place de l’Eglise. Cette maison est mise en vente par M. Remy-Vincent CHOPIN et ses 2 fils, Jacques-Remy-Ulysse CHOPIN et Louis-Frédéric-Prosper CHOPIN, moyennant le prix de dix mille francs. Elle se situait à la place de la mairie-école actuelle.

La maison est achetée par acte du 12 décembre 1877.

Ce Presbytère sera endommagé en 1918 et à sa place sera reconstruite en 1925 la maison qui abritera l’école et la mairie.

On aperçoit à gauche sur la carte (qui date d'avant la guerre de 1914),
 le curé à l'entrée de la petite cour du presbytère.
Trois curés desservants ont du y habiter : M. Gridaine jusqu'en 1891,
M. Jules-Gustave Gonon de 1891 à 1906,
M. Lucien Hénin de 1906 à 1918 (?)



Histoire de l'école de Coulommes depuis 1845


I - Introduction

Vers 1850 : une école se trouve dans un local près du cimetière. (elle se situait dans l’actuelle rue de l’église à l’emplacement du local pour la pompe à incendie jusque la petite porte du cimetière et à un mètre de la sacristie). La classe et le logement de l’instituteur sont malpropres, insalubres. A cause de la mauvaise distribution du local, les filles ont du être refusées. L’administration pousse la commune à remédier à cet état de choses. Plusieurs projets ont été étudiés mais ont échoué.

En 1855 : Mme de Dion de Ricquebourg a fait la concession gratuite, à la Commune, d’une maison bien disposée pour la tenue d’une école de filles. rue de la Humette au coin de la rue des Vaches.

En 1858 : le Maire de Coulommes adresse à l’Empereur une demande de secours pour l’école de garçons.

En 1863 : l’école de filles doit fermer ; il n’y a pas assez d’élèves et la commune ne peut supporter la charge de deux écoles.

En 1864 : Mr le maire présente un projet d’acquisition par la commune de l’ancienne maison d’école de filles, rue de la Humette, pour y tenir une école mixte. L’inspecteur primaire appuie le projet près de l’inspecteur d’académie.

Le 7 juillet 1864, une promesse de vente est signée par Mme la baronne de Dion de Ricquebourg.

En novembre 1864, après un rapport favorable de la commission des bâtiments civils, le projet reçoit l’avis favorable de l’administration.

Le 8 janvier 1865 :  a lieu la délibération du Conseil municipal portant vote des ressources nécessaires pour l’acquisition d’une maison d’école. Une subvention de cinq mille cinquante six francs, indispensable pour combler le déficit, est sollicitée du Gouvernement

Le 5 juillet 1865, suite aux avis favorables de l’Inspection académique, de Mr le Sous Préfet de Reims, de la commission des bâtiments civils, etc... le Conseil départemental accorde un secours de cinq mille cinq cents francs.

Le 6 janvier 1866 : un décret de Napoléon Empereur autorise l’acquisition et les emprunts pour établir une école mixte.

En 1888, l’école compte 30 élèves dont 27 de 9 à 13 ans.
En 1914, l’école est fréquentée par une quinzaine d’enfants.

En mai 1918, le village est évacué. Au retour des habitants, 80 % des maisons sont détruites ou très endommagées. L’école en fait partie. La classe se fera quelque temps au Château de la rue Haute, puis dans un « baraquement Adrian ».

En 1921, le conseil municipal choisit de reconstruire une nouvelle mairie-école mais à un autre endroit. Ce sera à l’emplacement de l’ancien presbytère, situé sur la place du village, trop endommagé pour être restauré.


II - Histoire de l'école de 1845 à 1918

Histoire de l'école de Coulommes depuis 1845

III - La Mairie-école après la guerre de 1914-1918




27 Novembre 1921 : La commune demande un crédit de 250 000 francs pour reconstruire les bâtiments scolaires.



Le 27 novembre 1921, le conseil municipal s’est réuni sous la présidence de Mr Hoche, 1er conseiller municipal ffon de Maire.
Etaient présents : M. M. Promsy, Detroux, Prévot, Desjardin, Coulon, C. Sogny et A Draveny. Absents : M.M. de la Guérivière et G. Sogny.
Secrétaire : M. C. Sogny.


M. le Président soumet au conseil une demande qui a été présentée par le Président de la société coopérative de Jouy-les-Reims et communes environnantes à l’effet d’obtenir un crédit de 250 000 francs pour reconstruction de bâtiments scolaires.

Le Conseil, vu l’urgence, prie Mr le Préfet de bien vouloir accorder à la commune la somme de 250 000 francs, nécessaires à la réalisation du programme envisagé.
Fait et délibéré en séance le 27 novembre 1921 et ont signé tous les membres présents.
(suivent les signtures)

VIE DE LA COMMUNE - DIVERS depuis la guerre de 1914-1918

Séance du 14 septembre 1920 :
Acceptation d’une rente perpétuelle de 25 frs de la Croix-Rouge américaine

Le 14 septbre 1920, le Conseil municipal de Coulommes-la-Montagne s’est réuni à la mairie sous la présidence de M. le Maire.

Présents : MM 1Vte de la Guérivière, 2 G. Sogny, 3 Hoche, 4 Promsy, 5 Detroux, 6 Prévot, 7 Desjardin, 8 Coulon, 9 G.Sogny, 10 Ch . Draveny.
Secrétaire : M. C. Sogny

Le Maire et le Conseil municipal de Coulommes, après avoir pris connaissance de l’offre que M. le Commandant Henry P. du Bellet, au nom de la Croix-rouge américaine dont il est le directeur à Reims, leur a faite par sa lettre du 1er septembre 1920, et après en avoir délibéré, acceptent la donation proposée, et l’autorisent à acquérir pour leur commune, un titre de rente nominatif de l’emprunt français 5% 1920, d’une valeur annuelle de vingt-cinq francs, dont ils s’engagent à disposer dans le courant du mois de novembre de chaque année, à partir du 1er novembre 1921, conformément aux conditions suivantes, en faveur de l’épouse légitime, entre 25 et 35 ans révolus qui, par ses soins éclairés, son activité laborieuse, son dévouement, son constant souci de l’hygiène morale et physique, la bonne tenue et la propreté de ses enfants (quel qu’en soit le nombre) et de sa demeure, se sera le plus distinguée dans le territoire de la commune.

VIE DE LA COMMUNE au XIXème siècle -- Divers, Vie sociale, Fêtes, Célébrations…

22 mai 1873 : Traité passé pour l’acquisition d’une pompe à incendie.



COPIE du traité passé entre la commune de Coulommes et Monsieur Bouton, serrurier mécanicien demeurant à Reims, relativement à la livraison d’une pompe à incendie avec ses accessoires par ce dernier à ladite Commune.
                               =================
Entre les soussignés Jean Charles Casimir Draveny, Maire de la commune de Coulommes, agissant en cette qualité et pour le compte de la commune d’une part ;
Et Monsieur Hippolyte Jacques Bouton, serrurier mécanicien demeurant à Reims, rue de Nanteuil, n° 11 ;

Il a été convenu et arrêté ce qui suit :
Le Sieur Bouton s’engage à livrer à la commune de Coulommes une pompe à incendie roulante, n° 5, à deux cylindres, de cent dix millimètres, se manoeuvrant par dix hommes et pouvant lancer deux cent cinquante litres d’eau par minute à trente deux mètres par un orifice de quatorze millimètres.

Justice de Vrigny, représentation des pots et mesures qui servent à lever la dixme due au Seigneur usufruitier, l'Abbé de l'Abbaye Royale de S. Remy de Rheims.

17 septembre 1629
Procès verbal de la representation des mesures à Vrigny, qui sert aussi pour Coulomes.


CEJOURD’HUI dix-septiéme jour de Septembre 1626, par devant Nous Nicolas la Planche, Lieutenant et Juge en la Justice de Vrigny, assisté de Thomas Couët, Greffier en icelle Justice, est comparu M. Jean Domartin, Prêtre, Grand-Archidiacre, Chanoine de l’Eglise de Notre-Dame de Rheims, Seigneur usufruitier en la Terre & Seigneurie de Vrigny ; Coulomes & Pargny

I/ Un village paisible avant la première guerre mondiale

1. Une vue générale du village


Carte postale Ed. Vve Boquet, Cl. V.C.





Carte postale, Phot. Courleux   Veuve Boquet édit.
"COULOMMES- la-MONTAGNE. - Vue du Village, Vue prise du bas"


Carte postale, Veuve Boquet, édit. Phot. Courleux
"Environs de REIMS - COULOMMES-LA-MONTAGNE.

 Vue du Village prise de la Montagne."

II/ La première guerre mondiale touche durement le village

1. Les destructions sont nombreuses


Carte postale,  Edition E. Vallet Vrigny
"2. COULOMME - Quartier bombardé"






 Carte postale, Edition E. Vallet Vrigny

"3. COULOMMES - Chemin du Fort"

Les Coulommois et Mgr L'Abbé de St Remy en 1647

Introduction : nous proposons la copie d’un document que nous avons consulté aux Archives de la Marne dans le « Fonds de l’Abbaye Saint Remy de Reims », document qui est extrait des Registres du Greffe du Bailliage de l’Abbaye.
Il s’agit du procès verbal des « Plaids » tenus à Coulommes le 24 juin 1647. ( plaids signifiant réunion des habitants d'une communauté, à la demande du seigneur).
On était sous le règne de LOUIS XIV (1643-1715)
Ce document renseigne précieusement sur la vie de nos ancêtres Coulommois il y a plus de 350 ans ! On y apprend tous les interdits qui pesaient sur les habitants, les obligations qu’ils avaient envers l’abbaye de St Remy, les dîmes (ou redevances en nature ou espèces) qu’ils lui devaient sur les grains, le vin, les légumes, les animaux de basse-cour…

Certaines personnes qui le liront auront peut-être plaisir à y voir des patronymes qu’ils connaissent bien, Bardoux, Desjardins, Dorigny, Draveny, Labassé et bien d’autres.

Situation des vignerons dans les années 30

Séance du 16 février 1935


L’an mil neuf cent trente cinq le 16 février à 17h30 le Conseil municipal de Coulommes la Montagne s’est réuni à la mairie sous la présidence de A. Detroux, Maire.
Présents : MM Detroux, Prévot Ch, Sogny Gaston, Lagauche Raymond, Bernard M. Ponson Albert, Prévot Marcel
Absents : MM Hoche V, Promsy L, Massonnot Aimé.
Secrétaire : M Ponson Albert

La séance étant ouverte :
…..
Sur la proposition du Maire de Trépail, le Conseil prend la délibération suivante :

Avant la guerre de 1914-1918

Séance du 9 juin 1889
Allocation communale pour la destruction des hannetons

M. le Maire expose que la commission instituée par l’arrêté préfectoral du 2 mai 1889 approuvé par M. le Ministre de l’Agriculture le 7 suivant, a constaté qu’il avait été ramassé sur le territoire de Coulommes, dans le cours du printemps actuel, une quantité de hannetons s’élevant à 1 HL 84 L.
Il rappelle qu’en vertu de l’article 2 de cet arrêté, le département accorde 8F par Hl de vers blancs et 5F par Hl de hannetons.
Il propose d’encourager la destruction de ces insectes en accordant des primes communales aux personnes qui ont droit aux primes départementales.

1762 : Nicolas BARDOUX institué garde chasse

Introduction

Le 8 novembre 974, Manassès, comte de Rethel, donna aux chanoines de Reims ses possessions de Tinqueux et de Colommes.
En 1104, un autre Manassès, archevèque de Reims (Manassès II de Châtillon, 47è Archevèque de Reims de 1096-1106), concéda l’autel de Coulommes à l’abbaye de Saint Remi. (voir document dans la rubrique Moyen-Age). « L’autel » représentait alors la partie du revenu d’une cure sur lequel les premiers évêques s’entretenaient ainsi que le curé desservant nommé par eux.
En juin 1240, Gaucher III donna à l’abbaye de Saint Remy le ban et la justice de la « Ville de Coulumnes ». (voir document dans la rubrique Moyen-Age). Gaucher III, sire de Nanteuil-la-Fosse, était alors le seigneur de Coulommes. Il était de la maison des seigneurs de Châtillon et des anciens seigneurs de Lagery (dont fut issu le pape Urbain II).

L'Église : Classement Monument Historique

Conseil Municipal : Séance du 19 septembre 1920


Classement de l’Église Monument Historique

Le Conseil,

Vu la lettre de M. le Ministre de l’Instruction Publique et des Beaux-Arts en date du 16 juillet 1920 ;

Considérant l’Antiquité du très curieux monument qu’est l’église de Coulommes dans laquelle église se trouvent réunis tous les styles, avec un mur, à l’Ouest, du Xe siècle comme appareil, une nef du Xe au XIIe, un chœur remanié au XVIIe, des piliers recouverts, sous le badigeon, de peintures murales (dans le style de celles des catacombes de Rome) qui, peut-être seraient les restes d’une primitive église constantinienne, le tout sur d’énormes fondations débordantes pouvant remonter à un « Fanum gallo-romain » au-dessus de l’ancien forum ;

Consent au classement de l’Église de Coulommes comme monument historique.

Fait et délibéré en séance le 19 7bre 1920.

     Ch Coulon                                  Sogny
     Desjardin Louis                           A Detroux
     Ch Prévot                                   V Hoche

Note : Un fanum est la forme typique du temple gallo-romain. Ce type de temple est une évolution des temples celtiques, qui en bois au départ, se sont peu à peu monumentalisés.

1104 : Vente de l'autel de Coulommes par l'archevêque Manassès de Reims (1)

1104 : Vente de l’autel de Coulommes
par l’archevêque Manassès de Reims
Traduction (partielle, sous réserve) Au nom de la Sainte Trinité, du Père, du fils et de l’esprit Saint (..) Manassès archevêque des rémois (…) l’autel de Coulommes qui était jusque là en la possession de l’Eglise Saint-Remi qui l’avait obtenu par succession…

1176 : Confirmation de la vente des droits aux religieux de Saint-Remi

1176 : Confirmation par le seigneur de Châtillon
de la vente faite par Hugues de Chaumuzy
aux religieux de Saint-Remi
de tous les droits qu'ils auront à Coulommes
Traduction (sous réserve) : Moi, Gaucher de Châtillon (sur Marne) je veux faire savoir à tous présents et à venir que Hugues de Chaumuzy détenait de mon fief une terre à Coulommes. Grâce à cette terre, les moines de Saint-Remi percevaient chaque année deux sous et cinq deniers et demi et trois quartes de blé et deux setiers de vin…

Juin 1240 : donation en aumône à l'Église Saint-Remi par Gaucher sire de Nanteuil

En 1240, Gaucher, sire de Nanteuil fait une donation en aumône à l'Église Saint-Remi (de Reims) du ban de la Justice et de la voirie de Coulommes, pour récompense du tort que son fils avait fait à ladite église.

L'Église : la nef après la reconstruction

L'Église : transept avant la Première guerre mondiale


L'Église avant la Première guerre mondiale


L'Église avant la Première guerre mondiale


L'Église détruite : vue de la nef par le sud

L'Église détruite : vue prise de la place

L'Église détruite : vue de la nef effondrée vers le chœur

L'Église détruite : vue de la nef effondrée